jeudi 10 novembre 2011

Wilkie Collins, La dame en blanc

Ces derniers temps, je poste beaucoup moins que je le voudrais, pour la même raison qu'il n'y a pas eu de ciné du dimanche la dernière fois : j'ai une tonne de boulot ! J'ai l'impression de ne plus en voir le bout. Forcément, j'ai moins le temps de lire, et forcément, j'ai moins matière à poster. Ce rythme devrait durer environ jusqu'aux vacances de Noël. Je suis toujours là hein, juste, ne vous étonnez pas si à un moment je suis plus longue à poster.



Bon, après ce préambule, j'en viens au véritable sujet de ce billet, La Dame en Blanc. Je ne connaissais absolument pas Wilkie Collins. Je n'en avais même jamais entendu parler. Je serais sans doute restée dans l'ignorance s'il n'y avait pas eu le superbe Swap d'Eiluned, ma correspondante dans le cadre du projet Correspondances d'Autrefois, auquel je participe. Et dans ce colis, ce fameux roman dont je vais vous parler maintenant.

Il était une fois...
Walter Hartright, jeune maître de dessin, se voit un jour offrir une place avantageuse à Limmeridge House, dans le Cumberland. La nuit précédent son départ, il fait une étrange rencontre, celle d'une femme vêtue de blanc. Dès lors, il a le sentiment que cette rencontre aura un impact sur son existence. Ces impressions se confirment lorsqu'il découvre des éléments de son identité dans le Cumberland...

Un peu, beaucoup, passionnément ?
Je n'avais encore jamais lu de roman à suspense se déroulant à l'époque victorienne et je n'ai pas été déçue. J'avoue que dans la première partie, j'ai trouvé certaines coïncidences un peu « faciles », mais rapidement je me suis laissée emporter par l'histoire, l'ambiance un peu sombre et le personnage d'Anne Catherick qui plane comme une ombre durant tout le récit. J'adore le fait qu'il y ait plusieurs narrateurs, je trouve que ça donne toujours un gros plus à un roman et ça permet de se sentir plus familier des personnages et de les suivre dans leur progression et leurs sentiments. Celui que j'ai sans aucun doute préféré est Marian Halcombe, son journal est particulièrement passionnant et elle a une personnalité assez fascinante. Je ne me suis pas ennuyée un instant mais malgré tous mes efforts, je n'ai pas réussi à deviner le secret de Sir Percival avant la fin !

En bref...
Ce roman m'a donné envie d'en lire d'autres de Wilkie Collins. Un énorme merci à Eiluned pour ce cadeau !

4 commentaires:

  1. Je suis contente que cela t'ait plu ! J'ai beaucoup aimé moi aussi, le personnage de Marian. Wilkie Collins a le don de nous accrocher, même si effectivement, certaines de ses ficelles nous semblent aujourd'hui un peu éculées, mais à l'époque c'était un précurseur !

    RépondreSupprimer
  2. Un classique qu'il faut que je lise...

    RépondreSupprimer
  3. Bonjour, je viens de découvrir ton blog chez Eiluned, entre "Sacrées sorcières" que j'adorais petite et "La dame un blanc" d'un de mes chers auteurs victoriens, je suis sûre de passer des moments agréables en me promenant par ici :)

    RépondreSupprimer
  4. Eiluned: Moi aussi je suis contente que tu m'ait donné l'occasion de découvrir cet auteur!

    Syl: n'hésite pas plus longtemps!!

    Lou: Je suis contente que ça te plaise, tu seras toujours la bienvenue! Le tien m'a l'air vraiment intéressant, je vais aller voir ça plus en détail^^

    RépondreSupprimer